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ORCHESTRE BARAQUE À FREE

SILEX

Nouvelle création

Après la sortie de son premier EP en janvier 2020, l’Orchestre Baraque à Free présente SILEX, sa nouvelle création post-free rock béton ! SILEX est une composition collective initialement pensée par Marion Josserand, Cédric Laval, Sylvain Rey, Simon Riou et Ludovic Schmidt.

De la noïse, du math-rock, des accents de musique de chambre, du rock déjanté ou la de pure improvisation, les inspirations sont aussi nombreuses que la pièce est ambitieuse. Quelques riffs exposés, réinterprétés et triturés structurent de manière organique la pièce SILEX. Atmosphères variées, sérénité consonante, espaces bruitistes et déchainements rythmiques, la baraque fonce en ligne droite vers un concentré brut de quatre années d’exploration collective dont SILEX est l’aboutissement.

Création : 16 – 24 juillet 2020 / 28 – 29 novembre 2020, Mix’Art Myrys, Toulouse

Représentations :
– 12 juillet 2021, festival Jazz à Luz, Luz-saint-sauveur
–  11 mars 2022, Catach, St Martin de Seignanx
– 12 mars 2022, Café du village, Anères
– 25 août 2022, festival Météo, Mulhouse

11 musicien·ne·s, fiche technique et maquette sur demande

Improvisateur·trice·s

Sarah Brault – voix
Antoine Ferris – basse et contrebasse
Marion Josserand – violon
Valentin Lafon – guitare
Cédric Laval – guitare
Mathilde Lavignac – clavier et piano
Julien Massol – sax alto et baryton
Florian Muller – basse
Sylvain Rey – clavier, mélodica et piano
Simon Riou – sax
Ludovic Schmidt – trompette
Arnaud Sontag – batterie

« Descendants de la pianiste [Christine Wodrascka], leurs membres ont bien d’autres filiations, aussi diverses que leurs personnalités, tels les dérivés du rock, d’In Love With, de John Zorn, de Walter Johnson ou des musiques électro. Collectif fondé sur une pratique musicale et sociale horizontale, le fruit de leur résidence à Luz prend l’aspect d’une synthèse de toutes ses tendances. Entre leurs mains, sound painting, cellule obstinée, exultation free ou fanfare ne sont que des outils qu’ils maîtrisent au mieux, de mieux en mieux.

Mais au-delà des aspects techniques, stylistiques ou esthétiques, si le public sortit unanimement le sourire jusqu’aux oreilles (le sourire partant des oreilles, pour une fois) c’est sans doute avant tout du fait de l’enthousiasme de la formation, de la joie manifestement immense à se produire ensemble entre eux et pour les autres, du fait d’une euphorie communicative et exaltante, et plus encore peut-être engagement engagé – qu’on me pardonne le pléonasme, mais il indique combien l’engagement dans une voie peut devenir routine s’y l’on n’y prend garde. La découverte du festival, découverte au futur à l’évidence aussi radieux que son présent ! »

Jazz Magazine, Juillet 2021

« Baraque à free is a French undectet (plus conductor) relying on improvisation and graphic scores (see video) to guide their musical endeavours. Despite the relative simplicity of their album’s cover art, the music presented within is highly intricate and thought-provoking. Every piece is an astonishing conceptual exploration, and you’re likely not getting a similar project soon! »

Can this eve be called Music ?, 15 février 2020

« Le groupe qui, le jour même, souffle sa première bougie (son premier concert fut douze mois en amont) réunit les jeunes pousses toulousaines. Cette baraque plaît. Quinze musicien[·ne·]s, des garçons, des filles, au milieu d’instruments souvent doublés. Deux guitares, deux sax, deux synthés, deux basses produisent une masse sonore quand le besoin s’en fait sentir. Et ce besoin est là. Plutôt que de présenter un travail de fin d’études appliqué et sans invention, cette bande investit des territoires bruyants qu’elle triture. Tour à tour, chef ou cheffe, le leader/la leadeuse est un adepte du soundpainting et crée la matière dans le moment. Les paires d’yeux des partenaires sont tout ouïe et la succession de tableaux fortement contrastés fonctionne. »

Citizen Jazz, février 2018