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SARAH BRAULT
Sam B.

Depuis 2020, Sarah se consacre à la pratique musicale, particulièrement à la voix et aux synthétiseurx. Elle est vocaliste au sein de plusieurs projets dont Bretch (musique expérimentale) Tarzan et Tarzan (musique improvisée, noise, expérimentale), Toulouse Improvisers Orchestra (musique improvisée), Orchestre Baraque à Free (post-free rock) ou encore La ligue des objets et Anouck (polyphonies vocales néo-trad). Elle est également claviériste au sein de projet Jokari.

Elle a notamment joué au Théâtre Garonne Scène Européenne, à Météo Mulhouse Festival, Les2Scènes Scène Nationale de Besançon, festival Jazz à Luz, festival riverrun – GMEA Centre National de Création Musicale Albi-Tarn, Un Pavé dans le Jazz, Les Abattoirs Musée FRAC Occitanie, Mix’Art Myrys, le BBB centra d’Art, Le Taquin jazz club, La Cave Poésie, Théâtre Le Ring, Chez Lily …

Parcours

Sarah Brault est musicienne, improvisatrice et joue de sa voix, principalement dans le domaine des musiques improvisées et expérimentales. Elle est membre fondatrice du collectif Baraque à Free à Toulouse.
En 2013, elle commence une licence de musicologie classique à l’Université Toulouse Jean Jaurès. Elle s’oriente en filière jazz afin d’intégrer l’Ensemble de Musiques Improvisées dirigé par Christine Wodrascka, une rencontre marquante qui l’oriente vers les musiques improvisées. Elle se passionne pour l’improvisation et ses possibilités multiples.

Elle se plait à créer des chemins musicaux sur mesure. En 2016, elle créé le collectif Baraque à Free avec ses ami·e·s Marion Josserand et Mathilde Lavignac afin de réunir des musicien·ne·s de leur génération avec qui pratiquer et expérimenter l’improvisation librement.

Sarah s’intéresse également à l’improvisation sur le plan théorique. Elle entame un master de recherche en musicologie et soutient en juin 2019 un mémoire intitulé La partition graphique pour écran, une stratégie compositionnelle collaborative ? (co-direction Ludovic Florin / Stefan Keym). Elle enseigne l’improvisation entre 2019 et 2021 au sein de l’Ensemble de Musique Improvisée de l’Université Toulouse Jean Jaurès.

Fatalité – Une partition graphique de Sarah Brault

Interventions, articles, conférences

Elle intervient en mai 2019 dans le colloque Écrire comme composer : le rôle du diagramme au Centre International de Philosophie de l’Université Paris VIII ainsi que dans la journée d’étude Hybridations (Université Toulouse Jean Jaurès) où elle présente ses travaux de recherche.
En 2020, elle publie l’article « Le diagramme comme outil d’écriture : le cas de la partition graphique» dans l’ouvrage collectif Écrire comme composer : le rôle des diagrammes, collection « Musique Philosophie » des Éditions Delatour.

En novembre 2019, elle présente la conférence Partitions graphiques, du papier à l’écran au Centre Lettres Arts et Philosophie de l’Université Toulouse Jean Jaurès en écho à la partition pour écran SYN-Phon qu’elle propose à l’interprétation du collectif Baraque à Free.

Cette même année, elle présente les conférences Pourquoi si peu de femmes jouent-elles du jazz ? et Ces femmes musiciennes trop peu connues (août 2019, festival Parfum de Jazz). Elle publie l’article
« Musiciennes » traitant de la sous-représentation des femmes dans le milieu musical (Improjazz Magazine, Septembre 2019, réédition fanzine, La maison qui brûle, 2020). Une problématique mise à l’honneur dans le projet de création-médiation Tarzan & Tarzan et les Guestas (création 2020) développé avec Marion Josserand où elle travaillent avec des femmes non-professionnelles de la musique.

Avide de concerts, elle publie des comptes-rendus de concerts dans Improjazz Magazine entre 2017 et 2019.
Elle est cheffe de projets Musique au
Centre d’Initiatives Artistiques du Mirail entre 2017 et 2020 (Université Toulouse Jean Jaurès) où elle est en charge de la programmation des concerts de La Fabrique entre 2017 et 2020.